Deux immeubles de Ginza dans leurs écrins: le Maronnier Gate en argent et le façade dorée de Cartier par Sylvain Dubuisson.
3 commentaires
Bonjour,
Voilà plus d’une semaine que je passe sur votre site sans laisser de commentaire de peur d’être trop envahissante. Mais là je ne tiens plus!
J’aime beaucoup « Raisonance musicale ». Je suis curieuse de votre idée de musique sur une image fixe.
Après lecture de votre explication du projet urbain, je me demande si les japonais se considèrent écologistes, ou si la nature fait tellement partie de leur quotidien que la question ne se pose pas.
Ce qui m’a frappée à Tokyo, c’est l’abscence d’odeur de pollution.
J’ai compris votre concept d’urbano-végétal là-bas. La nature est tellement intégrée à l’urbanisme…Je suis presque sûre que ma ville de province est plus polluée que Tokyo.
Quant aux bijoux jaillisants de leur écrin… sans commentaire (^_^)
Bonjour Nathalie, et merci de ton commentaire. N’hésites pas :-), c’est important d’avoir un retour sur ce qu’on écrit ou montre. Je m’étais posé la question auparavant; il y a environ 2000 visiteurs uniques sur ce blog tous les jours mais en fait assez peu de commentaires. Il faut dire aussi que je mets en général pas mal de temps à répondre aux commentaires qu’on me laisse ce qui n’entraine pas un dialogue actif, et je dois certainement écrire des billets qui n’appellent pas aux commentaires… Bref, tout ca pour dire merci pour tes commentaires qui sont toujours intéressants.
Pour en revenir au point écologie, c’est vrai que le naturel est un élément de base de la culture japonaise à travers la « religion » du quotidien shintoiste. Malgré cela, la donnée écologique n’était pas une préoccupation à Tokyo dans les années fastes démographiquement et économiquement depuis les années 60 ou pendant la bulle économique des années 80. Tokyo est apparemment même en retard par raport aux grandes villes mondiales au niveau de la d’après ce rapport Tokyo Bureau of City planning, au niveau de la proportion en surface des parcs par habitant. Depuis quelques années, le gouverneur de Tokyo a mis en place un « green plan » pour Tokyo destiné à préserver, restaurer et ajouter des zones vertes d’ici à 2050. Le projet d’île forêt de Tadao Ando s’insrit dans cette optique.
Urbano-végétal est mon interprétation fantaisiste et utopique du Green Tokyo Plan :-)
Bonjour,
Voilà plus d’une semaine que je passe sur votre site sans laisser de commentaire de peur d’être trop envahissante. Mais là je ne tiens plus!
J’aime beaucoup « Raisonance musicale ». Je suis curieuse de votre idée de musique sur une image fixe.
Après lecture de votre explication du projet urbain, je me demande si les japonais se considèrent écologistes, ou si la nature fait tellement partie de leur quotidien que la question ne se pose pas.
Ce qui m’a frappée à Tokyo, c’est l’abscence d’odeur de pollution.
J’ai compris votre concept d’urbano-végétal là-bas. La nature est tellement intégrée à l’urbanisme…Je suis presque sûre que ma ville de province est plus polluée que Tokyo.
Quant aux bijoux jaillisants de leur écrin… sans commentaire (^_^)
Bonjour Nathalie, et merci de ton commentaire. N’hésites pas :-), c’est important d’avoir un retour sur ce qu’on écrit ou montre. Je m’étais posé la question auparavant; il y a environ 2000 visiteurs uniques sur ce blog tous les jours mais en fait assez peu de commentaires. Il faut dire aussi que je mets en général pas mal de temps à répondre aux commentaires qu’on me laisse ce qui n’entraine pas un dialogue actif, et je dois certainement écrire des billets qui n’appellent pas aux commentaires… Bref, tout ca pour dire merci pour tes commentaires qui sont toujours intéressants.
Pour en revenir au point écologie, c’est vrai que le naturel est un élément de base de la culture japonaise à travers la « religion » du quotidien shintoiste. Malgré cela, la donnée écologique n’était pas une préoccupation à Tokyo dans les années fastes démographiquement et économiquement depuis les années 60 ou pendant la bulle économique des années 80. Tokyo est apparemment même en retard par raport aux grandes villes mondiales au niveau de la d’après ce rapport Tokyo Bureau of City planning, au niveau de la proportion en surface des parcs par habitant. Depuis quelques années, le gouverneur de Tokyo a mis en place un « green plan » pour Tokyo destiné à préserver, restaurer et ajouter des zones vertes d’ici à 2050. Le projet d’île forêt de Tadao Ando s’insrit dans cette optique.
Urbano-végétal est mon interprétation fantaisiste et utopique du Green Tokyo Plan :-)