… à travers la vitre d’une vieille maison de bois un peu bancale à Hiroo.
Mois : février 2010
Vue sur la rue Meiji
… la nuit au niveau de Shibuyabashi sur une passerelle piétonne vibrant au rythme des pas et donnant à la photographie une allure tournoyante. Notice de lecture, la nuit est blanche. Une autre photo prise en 2004 au pied de la passerelle.
Dôme souterrain
Ci-dessus la tête du volume oval souterrain de la station de métro de Shibuya de la ligne Fukutoshin. J’avais déjà pris quelques photos de cette architecture souterraine de Tadao Ando peu de temps après l’ouverture.
No Man’s Land
En novembre 2009, l’Ambassade de France a déménagé dans de nouveaux locaux juste à côté des anciens, pris d’assaut volontaire par 70 artistes français et japonais le temps de quelques semaines avant destruction. Cette exposition s’intitule No Man’s Land et se déroulait jusqu’au 18 Février. Nous y sommes allés le dernier dimanche avec une grande curiosité, celle de voir de quelle façon un bâtiment que j’y pu visiter maintes fois pour des procédures consulaires (refaire son passeport et certificat de mariage entre autres) a pu être trituré. Les artistes invités, confirmés ou universitaires, ont envahis chaque espace: des façades à l’extérieur, aux bureaux en passant par les couloirs, halls, voiture de fonction… C’est d’ailleurs assez amusant de découvrir l’ambassade de cette façon, repeinte, sans dessus-dessous parfois. Certains artistes revoient le thème du bureau à leur façon (peinture intégrale gris-argent, bureau vide et mobiliers passés par la fenêtre, …), d’autres s’amusent de clichés culturels japonais ou français: des personnages de manga et de jeux video (Mario), des figures convenues de la culture japonaise ou française (sumo, geisha, cycliste …). La série de photos No Man’s Land se trouvent ci-dessous.
Comme en rotations
Le Yasuyo Building, par Nobumichi Akashi, immeuble datant de 1969, à quelques pas de la sortie Est de la gare de Shinjuku. C’est un bâtiment très beau pour son étrangeté, sa noirceur et la violence de ces arêtes. On a cette impression que chaque étage est indépendant et peut entrer en rotation.