J’ai le souvenir d’avoir déjà visité le sanctuaire de Suitengu avant sa rénovation complète terminée en 2016. Notre première visite devait être en Janvier 2007, si j’en crois le billet que j’avais écrit à l’époque lors d’une visite à Ningyōchō. Je n’avais malheureusement pas publié de photos du Suitengu de l’époque pour pouvoir le comparer à la version actuelle. Il faudrait que je fouille dans mes archives si je trouve une ou plusieurs photographies de cette époque. Le sanctuaire actuel est posé sur un bloc de béton qui donne à l’ensemble un aspect moderne, même si la structure du sanctuaire en elle-même reste en bois. Mon passage au sanctuaire était très rapide. Je suis passé le visiter après avoir pris les quelques photos de la jonction d’autoroutes de Hakozaki que je montrais récemment et il ne me restait que peu de temps pour en apprécier tous les détails. Mais avant de repartir en vitesse de Ningyōchō, je ne pouvais pas manquer l’achat de bentō dans le petit magasin attaché au restaurant spécialisé en sukiyaki Imahan.
En cherchant un peu dans mes archives photographiques, je retrouve quelques photos prises il y a 14 ans en Janvier 2007 du sanctuaire Suitengu, bien avant sa transformation actuelle. Ce sont des photographies que je n’avais pas publié sur ce blog à l’époque. Ceci me fait penser que je devrais regarder un peu plus souvent dans ces anciens dossiers. Le poste de police Koban de 2007 que l’on voit sur la dernière photographie juste au dessus a bien changé par rapport à sa version actuelle beaucoup plus compacte sur la quatrième photographie du billet. Le format du sanctuaire en lui-même n’a pas beaucoup changé, si on compare la version actuelle sur la deuxième photo à la version de 2007 sur la septième photo, sauf la couleur rouge qui a disparu. Le principal changement est le socle en béton sur lequel le nouveau sanctuaire est posé. L’avant dernière photo montre un emplacement spécial pour les poussettes pour bébé, ce qui me rappelle que ce sanctuaire est propice aux naissances et c’était une des raisons de notre passage à l’époque.