SAIGA yuji and Gunkanjima

gunne.jpgUne histoire en images bouleversante de Yuji SAIGA sur la disparition d’une petite ville sur l’Ile de Gunkan (Gunkanjima). En 1974, à l’âge de 23 ans, Yuji Saiga, passionné de photographie passe 3 mois sur cette île industrielle où toute l’activité dépend d’une mine de charbon. Pendant cette période, il va dépeindre en photos la vie de ses habitants jusqu’à la fermeture de la mine de charbon, la disparition de tous ses habitants et la mise en ruine de la ville. On peut retrouver ses photos dans un ouvrage (cf. la photo) et également sur son site Internet en deux pages:

Avant la fermeture
Après la fermeture
Et egalement un prolog explicatif (anglais).

L’île de Gunkanjima s’appelait auparavant « Ile de Hashima », située à Takashima-Cho, dans la préfecture de Nagasaki. L’île a développé une activité minière de charbon depuis les années 1870. La poulation était de 5000 personnes à son plus haut et de nombreux immeubles d’appartements on été construit. Cette île tient son surnom de « bateau de guerre » vue sa forme particulière. La mine fut fermée en 1974, et est devenu ruines. L’accès a l’île est désormais interdit.Infos et Carte…

Le Style Vert

ind3front.gifLe déménagement nous a donné clairement envie d’explorer les possibilités de décoration et d’aménagement. Dans un contexte urbain saturé, comment se recréer une atmosphère chaleureuse et vivante dans son foyer. Le magazine « Indoor Green Style » propose quelques solutions à base de plantes vertes, élément pour lequel j’ai depuis toujours un grand intérêt.

Ci-dessous des liens vers les 4 numéros sortis pour donner des idées. Le magazine n’est pas super facile à trouver, mais on a trouve quelques exemplaires dans la librairie du Mitsukoshi de Ebisu Garden Place.

Numéros sortis:
Indoor Green Style Vol.4
Indoor Green Style Vol.3
Indoor Green Style Vol.2
Indoor Green Style Vol.1

Kusamatrix

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Rien à voir avec un nouveau épisode de Matrix, mais plutôt une exposition de Kusama Yayoi qui se passe en ce moment au sommet de la tour de Roppongi Hills, et qui s’appelle donc Kusamatrix. Nous avons profité de l’occasion de la venue pour la première fois des grands parents de Mari à Roppongi Hills pour aller faire un tour, une fois de plus, en haut de la tour pour la vue (malgré la chaleur et le beau temps, c’était très brumeux), et passer voir l’exposition. Cette exposition de cette artiste japonaise reconnue mettait en scène quelques éléments de son univers fait d’installations pleines de poix rouges et de miroirs, on s’y perd presque, c’est très ludique. Très conseillé donc, si vous passez par la haut. Nous sommes également passé rapidement à travers la deuxième exposition, Roppongi Crossing destinée à nous faire découvrir les nouveaux talents japonais.

En plus, quelques photos du haut de Roppongi Hills ci-dessous.

We Are Family – Patricia Piccinini

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Encore un musée aujourd’hui. Cette fois-ci, de l’art contemporain au Musée d’Art Contemporain Hara, près de Shinagawa. L’expo, c’était les installations de l’Autralienne Patricia Piccinini, a mi-chemin entre super réalisme et super science fiction. Les objets ont l’air réel, on s’y méprend, j’avais même parfois du mal à me mettre dans la tête qu’ils ne l’étaient pas. Elle met en scène ici des personnages imaginaires, a mi-chemin entre l’homme et l’animal. C’est super étrange… Un cochon humain, des enfants vieillis jouant à la game boy, des casques de moto pour Alien… Allez voir sur le site de l’artiste, la série « We are Family », pour avoir une idée plus claire, car l’explication est difficile.