URBANO-VÉGÉTAL (27) and somehow distorted

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Avec ces chaleurs estivales sur Tokyo, même les buildings partent en vacances vers les fraicheurs des montagnes et forêts. Je représente une nouvelle fois un de ces départs vers d’autres horizons, pour échapper à Tokyo pour quelques jours. Je me suis senti l’envie de reprendre ma série préférée urbano-végétale le temps de quelques épisodes. Avec 27 épisodes au compteur, je pourrais en faire un photobook dédié.

Tout en me demandant quelle peut bien être la source d’inspiration des ces structures architecturales vertes et flottantes, je tombe un peu par hasard sur des constructeurs de maisons dans les arbres. Je vois certaines similitudes entre ces maisons dans les arbres et mes constructions urbano-végétales, notamment ces deux concepts représentent une forme d’architecture détachée du sol et qui prend appuis sur le naturel, les arbres et les branches. Une forme de rêve également traverse ces deux concepts. Peut être qu’inconsciemment, je retranscris dans mes compositions un rêve d’enfant de maisons dans les arbres.

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La maison dans les arbres ci-dessus est de l’atelier Nendo et se nomme Bird Apartment. Comme son nom l’indique, cette maison comporte des appartements pour oiseaux. Elle est composée de deux parties, 78 nids d’oiseaux de différentes tailles d’un côté et une zone accessible à l’homme par une échelle de l’autre. Cet espace est comme un observatoire, on peut y voir l’intérieur des nids à travers des petits trous conçus à cet effet. La maison est dans une forêt de la préfecture de Nagano.

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Takashi Kobayashi et son agence Tree House People conçoivent aussi des maisons dans les arbres, bien que de format plus classique ou fidèle à ce que l’on peut imaginer. Cette agence construit des maisons dans les arbres depuis 1993. La maison en photo ci-dessus à gauche se trouve à Nasu. Un des principes de cette agence est de rapprocher l’homme de la nature tout en adoptant des techniques de construction préservant la croissance de l’arbre supportant la maison.

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Terunobu Fujimori est une figure connu de l’architecture japonaise. J’ai pu découvrir très régulièrement ses oeuvres architecturales atypiques sur les pages de Japan Architect ou autres revues d’architecture qu’elles soient locales ou internationales (Mark par exemple), notamment la petite maison de thé Takasugi-an Tea House (2004) (deuxième rangée de photos) perchée à 5 mètres en haut de minces troncs d’arbres. Cette architecture semble fragile, comme une fleur de cerisier, éphémère. J’aime d’ailleurs cette association de sakura avec une autre maison de thé, Tea House Tetsu. Fujimori va même encore plus loin dans le surréalisme avec flying mud boat, une maison volante, flottant au dessus du sol.

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Pour sortir du Japon, le designer Antony Gibbon a une approche beaucoup plus futuriste, je dirais même cinématographique pour le rapprochement avec des scènes du Seigneur des anneaux, de la maison dans les arbres. Les deux projets en images ci-dessus Embryo et Roost Treehouse sont superbes par leurs lignes géométriques et des formes qui se mélangent et se camouflent avec la nature. Je me demande s’il y a des projets de création pour faire vivre ces belles images.

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Pour continuer sur le rêve, voici un joli projet de livre avec illustrations et textes que je découvre sur katatsumuri.fr. Ce livre intitulé « La Ville est un rêve » est une collaboration entre 2 artistes: la dessinatrice Ai Akiyama et l’écrivain Jean-Philippe Lheureux. On peut découvrir quelques pages, illustrations et textes, mais le livre reste à paraitre au mois d’octobre et surtout à financer à travers la plate-forme ulule.com. J’ai décidé de soutenir ce beau projet, qui permettra de recevoir le livre si le projet atteint son objectif de financement. Je vous conseille de faire un tour sur la page du projet sur fr.ulule.com/ville-reve pour le soutenir. Je ne connais pas beaucoup ce principe de « crowdfunding » mais c’est intéressant pour se lancer, et ça a l’air de bien fonctionner comme système, vu l’avancement des fonds du projet de katatsumuri.

Continuons en photographie avec une série de 6 photos prises à Kamakura il y a quelques semaines.

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Le temple bouddhiste se trouve à Kamakura et il a été renouvelé assez récemment. On nous parle de la richesse de certaines des statues, pour leurs postures (à genoux) et instruments de musiques. Je suis assez surpris de voir à l’intérieur du temple des peintures qui ressembleraient presque à du manga. Ce n’est pas la première fois que je constate ce genre d’association atypique, comme à Kyoto au Chishaku-In.

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Pour terminer ce long billet aux multiples facettes, je partage un nouveau morceau fait maison dans un style assez similaire au précédent, par l’emploi de sample vocaux répétitifs créant avec les sons électroniques le rythme du morceau. Ce morceau s’appelle Somehow distorted, pour la distorsion volontaire du son dans la dernière partie. J’affectionne cette idée de distorsion, que j’essaie aussi d’appliquer d’une certaine manière à mes compositions photographiques, pour les éloigner du réel.

URBANO-VÉGÉTAL (26) sous Drone Ambient

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Ce n’est peut être pas tout à fait le numéro 26 de la série urbano-végétal que je montre ci-dessus, car certains inédits se sont glissés dans mes photobooks notamment In Shadows. C’est une version « sakura » cette fois-ci sous une pluie qui les rendra encore plus éphémères. Les cerisiers en fleur au Japon sont une belle histoire qui se termine toujours par vent et pluie. Comme c’est le cas de temps en temps, les compositions sortent du décor de la ville, ici au dessus de Kita Kamakura, au dessus du grand temple Engakuji pour être très précis.

Je le mentionnais en commentaire du billet précédent, je découvre 2 morceaux Drone Ambient intitulés White Noise de Svarte Greiner et Salvation de Chihei Hatakeyama. Comme je m’y perds beaucoup dans le nom des genres muscicaux, je connaissais l’Ambient, mais pas le Drone Ambient. Le drone en musique caractérise un style musical faisant essentiellement usage de sons, notes maintenus ou répétés et est typiquement caractérisé par de longues plages musicales présentant peu de variations harmoniques. Nous voilà fixé. Je n’avais jamais tiré la corde musicale vers ce style là, mais je me suis laissé guider par un commentaire du billet précédent me recommandant un bon site de musique « silent weapons for quiet wars » (j’aime beaucoup le nom du site, un peu moins les notes de vulgarité non nécessaires par ci par là dans les textes, bref). De fil en aiguille, je découvre le long morceau de 20 mins de Hatakeyama et il m’accompagne, ainsi que celui de Svarte Greiner, pendant la création de la composition urbano-végétal ci-dessus ainsi que le travail sur la série de photographies ci-dessous. J’aime considérer l’influence musicale sur mon traitement photographique (c’est mon sujet préféré). Les photographies sont volontairement traitées sombres, comme ces deux morceaux de Drone Ambient, la fleur colorée à la fin étant la porte de sortie. Cette musique en longues nappes s’entrelaçant est abstraite et particulière. Je ne pense pas que j’aurais su apprécier ce style musical il y a quelques années, il faut franchir quelques étapes avant de se plonger dans ce ruissellement de sons. Ce flot est une force insaisissable retenant toute l’attention. On y surveille les changements subtils de sons, les apaisements et précipitations.

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Je profite du beau temps dimanche pour prendre mon vélo pour une promenade à la recherche d’architecture. En fait, je profite d’une commande express de Mari et Zoa d’achat de nourriture pour petit poisson (reçu de l’école) pour faire des détours interminables jusqu’à Meguro à la recherche d’architecture remarquable. La pêche (à l’architecture) ne sera pas très bonne, car je n’ai pas eu le plaisir de découvrir beaucoup de bâtiments inconnus ou vus seulement sur les magazines d’architecture. Je retrouve par hasard ou volontairement quelques constructions vus et montrés sur ce blog auparavant. Je passe très souvent à Aoyama devant la maison particulière Wood/berg par Kengo Kuma (2ème photographie). Je constate petit à petit que la couleur des lamelles de bois en façade se délave un peu et c’est bien dommage. Pour rester sur la teinte verte des baies vitrées, je passe aussi devant l’immeuble Iceberg de l’architecte anglais Benjamin Warner et l’agence Creative Designers International (3ème photo). Je remonte ensuite vers le stade olympique de Kenzo Tange, mais prend la petite rue longeant l’entrée et le parking de la résidence Co-op Olympia (construit par Shimizu Corporation) à Harajuku. Cette résidence date de 1965, juste après les Jeux Olympiques de 1964 dont elle tire son nom. La 5ème photo nous montre de l’architecture brutaliste, celle de Hiroshi NAITO pour la Gallery TOM, construite en 1984 à Shoto.

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Ce billet fera sans cesse référence au billet précédent, car je souhaite maintenant faire deux remerciements. Merci à Katatsumuri/DaNIel, qui commente régulièrement ici, pour son billet faisant référence à Made in Tokyo comme un blog à ne pas rater. J’aime beaucoup l’interprétation qui est faite de Made in Tokyo qui reflète bien mon inspiration. On m’a dit plusieurs fois que je présentais une vision de Tokyo différente loin des blogs « I love Japan ». A vrai dire, je ne regarde plus beaucoup de blogs sur le Japon (à tord très certainement, mais par manque de temps et d’envie), donc j’ai un peu perdu de vue ces blogs « d’amoureux du Japon ». Ma seule crainte est de devenir un blog touristique et vous pourrez constater que j’ai mal tourné si je commence à mettre des bandeaux publicitaires sur mon blog (J’exagère bien sûr). Mais je n’aime pas tellement non plus proclamer que je propose une vue « différente » de Tokyo. A vrai dire, j’aime beaucoup l’emploi du mot poétique de Katatsumuri.

Je souhaite aussi remercier l’écrivain et professeur à l’Université Cho de Tokyo, Michaël Ferrier pour son email d’encouragement et pour la référence en bibliographie à Made in Tokyo sur un article qu’il a publié dans les cahiers Croisements (Revue francophone de sciences humaines d’Asie de l’Est). Michaël Ferrier y écrit sur « Tokyo: ville réelle, ville rêvée, ville révélée ». J’avais également couvert quelques éléments d’utopie urbaine à Tokyo dans un billet du blog intitulé Visions d’un Tokyo vertical. Il a publié aussi Fukushima, Récit d’un désastre que je commence à lire en ce moment.

Awake 6 days

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Même si mes morceaux électroniques n’inspirent pas beaucoup de commentaires sur le blog, je continue tranquillement mon parcours semé d’embûches sur SoundCloud avec un 30ème morceau (déjà!) intitulé « Awake 6 days ». Je suis passé récemment sur un compte SoundCloud Premium car j’avais dépassé les 2 heures d’enregistrement. Le seul retour qui me soit donné de mes compositions musicales est le nombre d’écoutes enregistrées sur SoundCloud. J’atteins désormais 2,665 écoutes au total, ce qui fait une moyenne de 89 écoutes par morceau. En totalité, mes morceaux ont été téléchargés 92 fois, soit un peu plus de 3 fois par morceau. Le nombre de mes propres écoutes ne sont pas comptabilisées sur SoundCloud, mais je réécoute mes morceaux assez souvent sur mon ipod, avec une oreille critique bien sûr, mais pour mon plaisir personnel avant tout. Et l’Ipad est très bien foutu pour ses applications musicales, qui se multiplient petit à petit et donnent envie de continuer à créer de nouvelles choses en expérimentant avec de nouvelles applications musicales. Je dois avoir 25 applications musicales sur mon Ipad, je ne les utilise pas toutes bien sûr, mais une bonne moitié très régulièrement. Ma page A propos parle d’ailleurs un peu de mon environnement musical sur Ipad (déjà plus tout à fait à jour malheureusement).

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Je reprends mes mégastructures au dessus de la ville, ici à Shinjuku. Je n’avais pas construit de structures depuis un petit moment. Il s’agit ci-dessus de l’épisode « Megastruktur (4) », l’épisode 3 date de Mars 2013 et l’épisode 2 de Janvier. Une fois n’est pas coutume, j’ai maintenu la couleur. Cette composition tout en longueur entre en écho avec l’image de couverture du morceau électronique et le morceau musical, je pense, entre en écho avec ces deux compositions graphiques.

Continuons avec quelques images de villes par des artistes contemporains japonais tous affiliés à la Galerie Mizuma Art. Ceux qui sont un peu familiers de Made in Tokyo, on certainement déjà vu ces quelques noms d’artistes, mais je les remontre encore une fois ici, car j’ai fait l’acquisition de leurs Art Book récemment.

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J’ai découvert Akira Yamaguchi il y a environ 10 ans, en 2003, sur les étagères de la petite librairie du Musée Mori de Roppongi Hills. Quelques cartes postales étaient disposées dans un coin et montraient déjà des vues surprenantes de Tokyo, et notamment l’interprétation futuro-traditionnelle de la tour Roppongi Hills ci-dessus. 3 ans plus tard, en 2006, j’ai fait l’acquisition du premier Art Book de Yamaguchi, un petit format intitulé The Art of Akira Yamaguchi. Je l’avais trouvé une fois encore dans la librairie de Roppongi Hills après avoir visionné l’exposition photographique de Hiroshi Sugimoto (qui m’avait beaucoup marqué d’ailleurs). Le petit format du Art Book ne rendait malheureusement pas justice aux fourmillements de détails que l’on peut trouver dans les dessins de Yamaguchi. Les images montrées ci-dessus ne montrent d’ailleurs pas non plus toute la richesse et l’inventivité dont il fait preuve. Le livre plus récent intitulé The Big Picture dispose d’un plus grand format (A4) et permet d’apprécier son oeuvre. J’avais pu voir les formats originaux lors d’une exposition au Department Store Sogo à Yokohama. Les dessins de Yamaguchi s’observent longtemps pour bien comprendre la complexité des rues et des interconnections. Il montre, en vue de coupe, les intérieurs des immeubles où se mélangent personnages en kimono et en costumes-cravates, voitures des années 70 et chevaux robotisés. Les trains ont des toits en forme de pavillons, tout comme les grandes tours de Tokyo. Les dessins précis et détaillés sont entourés de nuages arrondis sortis de Ukyo-e. Tout ceci forme un ensemble urbain anachronique qui pousse à l’extrême certains paysages tokyoïtes ayant survécus les décennies.

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Manabu Ikeda nous montrent également des paysages extraordinaires. Tandis que Yamaguchi nous montre un mélange de futur et de passé, Ikeda nous montre un mélange de naturel et d’urbain enchevêtré dans une masse dynamique indescriptible. Il y a également une inspiration Ukyo-e chez Manabu Ikeda, comme cette vague ci-dessus qui dans son intégralité nous rappelle celle de Hokusai. L’ambiance y est violente, on a l’impression d’une grande vague de tsunami qui emporte tout sur son passage. Cette grande vague intitulée Foretoken est une oeuvre de 3m 40cms de long et date de 2008. Je n’ose pas imaginer le nombre d’heures, de journées, de semaines pour créer cet univers. J’ai découvert cet artiste en me procurant un de ses Art Book, en livret format A4 d’une quinzaine de pages cartonnées. Manabu Ikeda, tout comme Akira Yamaguchi, étaient également présent dans le livre inventaire Basara de Tenmyouya Hisashi, toujours chez Mizuma Art Gallery. Là encore, il faut se perdre dans les détails de l’oeuvre, et le format en livret A4 n’est pas forcément idéal.

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Pour terminer cette petite série, je découvre plus récemment le travail de Masakatsu Sashie, toujours chez Mizuma Art Gallery. Tout comme Yamaguchi et Ikeda, Sashie se joue des formes urbaines d’une ville trop dense. Il utilise souvent le concept d’une boule refaçonnant le décor urbain. On a l’impression que cet objet volant nait des rejets de la ville, qui seraient comme aimantés sur une surface ronde extraterrestre. On ressent chez ces trois artistes un besoin de reconstruire la ville à sa façon. C’est un sentiment que je partage et qui me parle beaucoup, et j’essaie à ma façon à travers la mégastructure volante ou la structure urbano-végétal de transformer cette ville.

ナガツ

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Le 28ème morceau sur SoundCloud s’appelle Nagatsu et, comme indiqué dans le précédent billet musical, comporte une petite vidéo faite maison et postée sur Youtube. Je ne pense pas créer une vidéo pour chaque morceau, mais c’est un premier essai. Une fois n’est pas coutume non plus, le morceau est à 140bpm et est en grand partie construit sur le logiciel ReBirth (que j’avais sur mon Ipad depuis un petit moment sans l’avoir vraiment pratiqué). Bonne écoute.

ReviveOne

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Je n’avais pas composé de morceaux électroniques depuis décembre 2012, plus de quatre mois donc. J’avais commencé le morceau ci-dessus, ReviveOne depuis plusieurs mois, mais avait laissé le travail un peu en plan jusqu’à maintenant. J’ai envie de m’essayer à coupler mes morceaux avec une video, mais je n’en suis qu’au stade de la réflexion. J’ai déjà un compte sur Vimeo, mais rien à y mettre pour l’instant. En attendant, je suis arrivé au maximum des 2 heures gratuites sur SoundCloud.com. Comme j’ai envie de continuer un peu mes compositions musicales, je vais très probablement souscrire à un compte Pro (pour 4 heures). L’air de rien, j’arrive tranquillement aux 2500 écoutes de mes morceaux sur SoundCloud.