A Tokyo (et par extension au Japon), si on ne sait pas comment passer son après-midi, on peut toujours se lancer à la recherche de temples. Ils sont partout, au détour d’une rue, cachés derrière un labyrinthe d’immeubles modernes, perdus dans un lotissement de banlieue, cachés dans une forêt millénaire. Au retour de mon exam de japonais, et après m’être perdu pas mal de fois à moto (ça peut arriver), j’ai découvert celui-ci à Midorigaoka, entre Jyugaoka et Ookayama, dans les environs de Meguro. Un petit temple entouré de ses feuilles mortes.